Le journal d'une cochonne

115 Chien

Hey… C’est moi… Je suis revenue…

Ça fait seulement un mois et quelques jours mais j’ai la sincère sensation qu’il s’est écoulé une année… Il s’est passé tellement de choses pour moi durant les dernières semaines. J’ai encore besoin d’écrire dans ce journal en fait.

Dans mon dernier écrit, j’étais fatiguée et en colère pour une raison précise et j’ai refourgué toute ma colère sur moi-même et bref… J’ai agis sur un coup de tête, je voulais que tout s’arrête… Maintenant ça va mieux.

Donc, je suppose qu’on va recommencer à parler de sexe. Je voudrais vous prévenir cela dit, on en arrive à ce point où j’ai besoin de dire des choses de plus en plus trash. Jusque là, beaucoup de personnes m’ont dit que ce journal avait un côté "libéré"... Je suppose que c’est ce qu’on pouvait penser… Mais à partir de maintenant, ce ne sera plus "libéré", ce sera… Dégouttant.

Alors pour ceux (et celles ?) qui se masturbaient en lisant ce journal, je ne vous comprends pas vraiment… Enfin faites ce que vous voulez, mais sachez que mon but ici n’est pas du tout d’exciter qui que ce soit. Mais alors pas du tout. Si votre but est de vous masturber, je vous conseil sincèrement de vous en aller.

Sur ceux, je vais reprendre là où on en étais et vous parler *prend une graaaaande inspiration* de zoophilie. J’ai l’impression qu’on est en train de franchir une ligne, non ? Allez, on y va.

Je suis zoophile. Enfin je crois. Non, je crois pas, je le suis. Oh seigneur, est-ce que je suis vraiment en train de parler de ça ? Je ne sais même pas par où commencer…

Bien sûr, j’ai découvert la chose sur internet. Je ne suis pas tombée dessus par hasard, je l’ai cherché. Ça se trouve facilement, c’est légal dans plein d’endroit dans le monde. Et bien sûr, c’était excitant.

J’avais quatorze ans je pense. En réalité, je ne suis excitée que par les rapport entre chiens mâles et femmes. Je n’aime pas trop les chevaux, les autres animaux, et encore moins quand ce sont des hommes qui pénètrent des animaux. Ça, beurk, non très peu pour moi merci, je ne juge pas mais j’en ai déjà vu et je ne veux plus en revoir.

Quand j’avais quinze ans, j’ai finalement cédé à mes envies. Mes parents avaient plusieurs chiens, j’ai choisis le mâle le plus calme… Je ne sais pas trop ce que j’avais dans la tête, je voulais essayer, j’imagine… Ça n’a pas été très compliqué, j’ai attendu qu’il n’y ai personne à la maison, je l’ai fais venir dans la salle de bain avec moi et je me suis déshabillée. Ensuite je ne sais plus, j’ai sûrement simplement écarté les jambes et il a tout de suite compris. Je me souviens qu’au début il y me reniflait en attendant que je le repousse, ce que pour une fois je n’ai pas fait. Et les choses allant de fil en aiguilles… Il m’a fait un "cunni" (je le mets entre guillemets parce que ça fait bizarre de dire ça pour un chien… Est-ce que, si je voulais être honnête, je devrais dire que c’est un chien qui m’a fait mon premier cunni ?). Je me rappel que j’étais très très excitée, mais malgré tout, ce n’était pas si génial que ça… La langue d’un chien ne "glisse" pas exactement sur ma vulve, il y avait une légère sensation de brûlure… Par contre, quand il a passé sa langue sur mon anus, j’ai cru que j’allais voir le nirvana.

J’ai essayé de faire en sorte que le chien me prenne, mais il ne voulait pas, rien à faire… Il ne bandait pas et aucune réaction quand j’essayais de masturber son pénis à travers le fourreau. Je me dis que c’est peut-être mieux comme ça. Je ne sais pas si j’aurais pu vivre avec ça. C’est déjà assez dure de savoir que je suis zoophile, alors si en plus j’avais donné ma première fois à un chien ! Et puis en plus, c’était un chien de la famille, comment j’aurais pu le regarder en face après... ?

Je me suis sentie assez dégouttant après ça. Je me sens encore comme ça parfois… D’un autre côté, je me dis que ce qui est fait est fait. Et j’ai de la peine pour la pauvre petite adolescente que j’étais, toute perdue, sans aucune confiance en elle… Je me dis que si je peux prendre du plaisir comme ça, dans le fond est-ce que c’est très grave ? Je ne fais pas de mal au chien, après tout…

Je l’ai re-fait le lendemain, et puis trois ou quatre fois je pense, avec ce même chien. Il voulait bien me lécher, mais il n’a jamais bandé. J’ai pourtant essayé de stimuler son pénis, mais je suppose que ce n’était pas son tempérament. Une fois j’ai même passé ma langue sur sa peau, mais je trouvais ça un peu dégouttant et je ne l’ai jamais refais.

Des années plus tard, je dormais chez des gens qui avait un petit chien. Un soir j’étais seule chez eux et j’ai retenté l’expérience avec lui. Le simple fait d’avoir un autre être vivant qui me toucher, pour une fois, était très agréable. Lui non plus ne bandait pas.

Ensuite, il y a eu le chien de ma cousine. Je suppose que c’est l’expérience la plus intense que j’ai eu avec un animal.
Déjà, ce chien, c’est une espèce de force de la nature. Un dog americain, musclé, brutal, désobéissant. Un putain de mâle. J’ai jamais eu de problème avec les chiens, j’ai un feeling naturel avec les animaux en général, mais avec lui, je n’ai jamais réussi à me faire obéir. Quand il voulait jouer, il me mordait, me griffait avec ses pattes, j’étais complètement dominée. Je vous laisse deviner mon état sur le plan sexuel.

Un jour, j’étais seule chez ma cousine avec ce chien qui ne me laissait jamais une minute seule, donc j’ai juste tenté l’expérience. C’était beaucoup plus intense avec lui qu’avec les autres. Pour une raison que j’ignore, il aimait me lécher. Il n’a jamais tenté de me prendre par contre, enfin je n’ai jamais essayé de me mettre en position, j’ai toujours eu beaucoup trop peur pour le laisser commencer… Comme il était inmaîtrisable, il valait mieux qu’on ne se lance pas dans un coït.

On l’a fait plusieurs fois. Après ça, dès que je me déshabillais, il venait coller son nez entre mes jambes et ce, même quand j’avais pas du tout envie de sexe, ce qui du coup m’excitait ardemment. Je me demande s’il faisait pareil avec ma cousine…

Donc oui, je n’ai pas vraiment fait de choses concrètes avec un animal. Est-ce que des petites léchouilles ça compte ? À vous de juger, par contre pour ce qui est de la pornographie zoophile… Je dois bien avouer que j’en regarde… Régulièrement. Et je suis presque sûr qu’un jour je passerais à l’acte. Parce que chez moi, sur le long terme, l’excitation à toujours fini par prendre le dessus sur la morale.

On ne choisit vraiment pas ce qui nous excite. Je sais que je l’ai déjà dit tellement de fois mais… C’est vrai, alors je le redis. Je n’ai pas choisi. Je n’ai pas choisi d’être excitée par ça. J’aurais aimé que ce ne soit pas le cas. J’aurais aimé être plus normal. J’aurais aimé ne jamais découvrir cette partie de moi-même.

Mais c’est là. C’est là.